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Résumé de l’Appendice au De Deo – extrait de Martial Guéroult

§ XIII. - l'Appendice qui suit la Proposition 36 apparaît comme la conclusion du livre I. Il a pour objet de régler son compte à un préjugé commun et tenace : celui de la finalité, qui risque de

Lecture des propositions XXXVIII à XL du De Servitute

Les propositions 38 à 58 déterminent les moyens et les obstacles à la réalisation de l’idéal individuel et interhumain de vie raisonnable tel qu’il a été défini par l’ensemble des propositions 19 à 37, de l’intérieur même de

Les deux genèses de la société, Ethique IV, 37 – extrait d’Etienne Balibar

La Raison qui détermine entre les hommes un accord nécessaire n'a donc rien de transcendant : elle n'exprime rien d'autre que la puissance de la nature humaine, qui se manifeste et se développe dans la recherche de l' « utile

Lecture de la proposition XXXVII du De Servitute

Prop. 37 : Le bien auquel aspire pour soi chaque homme qui suit la vertu, il le désirera aussi pour tous les autres hommes, et d’autant plus qu’il possédera une plus grande connaissance de Dieu.

Transition et mutation, l’amnésie du poète espagnol – extrait de Pascal Séverac

La seconde difficulté propre à la compréhension de ce que signifie agir pour un corps humain tient non plus à la définition de agere, mais à celle de Corpus. Qu’est-ce qu’un corps, et plus précisément qu’est-ce qu’un corps

L’amnésie du poète espagnol – extrait de Pierre-François Moreau

(…) Le texte se trouve dans le scolie de la proposition 39 de la quatrième partie de l’Ethique qui s’intitule « La servitude de l’homme ». Ce titre, comme chacun sait, désigne non seulement la description de

Lecture des propositions XXIX à XXXVI du De Servitute

Après que les propositions 19 à 28 aient dégagé les fondements de la vie raisonnable individuelle, les propositions 29 à 37 concernent les fondements de la vie raisonnable inter-humaine.   Macherey intitule son commentaire des prop. 29 à

Utilité et communauté de nature – extrait d’Alexandre Matheron

Tout d'abord, une chose partiellement semblable à nous, en tant qu'elle est semblable à nous, peut-elle nous nuire ? Précisons, en développant l'argumentation un peu elliptique de Spinoza (Eth IV, 30, demo). Soient deux êtres X et

Lecture des propositions XIX à XXVIII du De Servitute

Les propositions 1 à 18 ont montré les causes de l’impuissance (relative mais fondamentale) de la raison face à la force des passions (rapports de force plus précisément étudiés dans les prop. 9 à 13). Les prop. 19 à 28 déduisent

L’impuissance relative de la raison – extrait d’Alexandre Matheron

En fait, la connaissance vraie du bien et du mal est, à l'origine, affectée d'un lourd handicap. Car rien de ce qui se passe en nous n'échappe à la causalité naturelle : tous nos sentiments sans exception, qu'ils soient actifs ou

Déterminisme et fatalisme – extrait de Alain

(…) Un peu moins de poudre dans la charge, l'obus allait moins loin, j'étais mort. L'accident le plus ordinaire donne lieu à des remarques du même genre ; si ce passant avait trébuché, cette ardoise ne l'aurait point tué. Ainsi

Lecture des propositions VIII à XVIII du De Servitute

Les premières propositions du De Servitute – 1 à 18 - développent la condition naturelle de servitude des hommes, en tant que ceux-ci sont généralement dominés par leurs passions, c’est-à-dire soumis aux rencontres et aux causes extérieures, en tant qu’ils