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Introduction au De Mente

Le De Deo envisage la nature des choses de manière générale et frontale, alors que la Partie II se consacre à un seul des aspects de cette réalité : l’âme, et plus spécifiquement encore l’âme humaine.

Partie

Plan détaillé du De Mente

I. PROP 1-13 : nature/essence de l’âme humaine – ce qu’est l’âme humaine - 1 et 2 : pensée et étendue comme attributs divins (attributs) - 3 et 4 : réalité de l’idée de Dieu ou intellect infini

Lecture des définitions et axiomes du De Mente

Toutes les définitions, malgré leur caractère disparate, portent sur la « nature naturée », sans référence particulière à l’essence humaine, mais délimitent le domaine d’étude de la partie. En revanche les axiomes sont consacrés entièrement à l’homme, à « nous ».   DEFINITIONS Déf. 1 : Par corps,

Lecture des propositions I à VII du De Mente

Après l’ontologie générale de le partie I, la partie II de l’Ethique resserre le propos sur l’homme et la béatitude de son âme (Cf. Préface). Les définitions du De Mente concernent la nature naturée et en fixent les éléments fondamentaux : qu’est-ce

Lecture des propositions VIII à XIII du De Mente

Prop. 8 : Les idées des choses singulières, autrement dit des manières <modorum>, qui n’existent pas, doivent être comprises dans l’idée infinie de Dieu de même que les essences formelles des choses singulières, autrement dit des manières, sont contenues dans

Lecture des axiomes et des lemmes physiques du De Mente

La compréhension adéquate de l’union de l’âme et du corps supposerait d’avoir « une connaissance adéquate de la nature de notre corps ». Mais seuls seront exposés ici les éléments essentiels et nécessaires au projet du De Mente, la béatitude de l’âme

Lecture des propositions XIV à XXIII du De Mente

Une fois déterminée la nature de l’âme humaine – idée d’un corps humain, prop. 13 -, puis les quelques éléments nécessaires concernant la nature de son objet – « abrégé de physique » situé entre les prop. 13 et 14

Lecture des propositions XXIV à XXXI du De Mente

Les propositions XXIV à XXXI prolongent l’examen de la connaissance imaginative (1e forme de la puissance de penser de l’âme : prop. 14 à 31) : après la déduction du mécanisme ou de l’origine (origine) de l’imagination (prop. 14 à

Lecture des propositions XXXII à XXXVI du De Mente

Les propositions précédentes (24-31) ont établi que l’âme humaine produisait essentiellement, et par nature, des idées inadéquates et confuses : des corps extérieurs, du corps dont elle l’idée, d’elle-même, de la durée des choses existantes. Les propositions 32 à 47 vont cependant

Lecture des propositions XXXVII à XL du De Mente

L’enjeu essentiel des propositions 37 à 40 est d’établir les conditions de possibilité de la formation (et de l’enchainement) des idées adéquates dans l’âme humaine, ce que Spinoza appellera les « fondements/principes de notre raison/raisonnement » (ratiocinii nostri

Lecture des propositions XLI à XLIV du De Mente

Après que les propositions 37 à 40 ont établi que les connaissances du 2e et 3 genre sont adéquates, les propositions 41 à 44 vont en démontrer d’autres propriétés « de plus en plus hautes » (Guéroult, 391) : vérité (41),

Lecture des propositions XLV à XLIX du De Mente

L’objet du De Mente : qu’est-ce qu’une âme humaine ? qu’est-ce que peut/fait/produit une âme humaine ? Les propositions 1 à 44 ont permis d’établir les points suivants : Une âme humaine, c’est l’idée d’un corps humain. Ce que produit une âme humaine : ce sont des idées. Spontanément